Une sonnerie, une sonnerie de fond qui sonnait dans la tête de la blondinette. Au départ, la jeune femme crut qu’il s’agissait d’un rêve mais très vite, elle prit conscience qu’il s’agissait de son portable qui sonnait. Satané téléphone portable, qu’est-ce qu’il pouvait être agaçant, surtout en plein milieu de la nuit. La jeune femme ouvrit doucement les yeux tandis que son téléphone continuait à sonner. Avant de le prendre, elle regarda l’heure : 4h33… C’est pas vrai, il n’y avait qu’une seule raison à ce coup de téléphone aussi tôt dans la matinée : le boulot…

*Et merde*

Alors qu’elle lâcha cette phrase, elle vit une silhouette se retourner dans son lit tandis qu’il ronchonnait. Cette nuit encore Dean Winchester était resté et encore une fois, ils avaient fini au lit. Mais cela ne dérangeait pas Veronica qui aimait énormément le garçon et apparemment, c’était réciproque. Elle fit un sourire tout en le regardant continuer à dormir tandis qu’elle comprit que son téléphone avait arrêté de sonner. Était-ce vraiment Hotchner ? Si c’était le cas, il aurait continué jusqu’à ce qu’elle réponde, il n’était pas du genre à laisser tomber, surtout lorsqu’il s’agissait du boulot. Mais alors qu’elle se recouchait, son téléphone sonna à nouveau… C’était bien Hotchner :

« Bonjour Veronica ! Un cadavre a été découvert dans une ruelle de New York ! Nous partons dans vingt minutes ! Rendez-vous dans le jet pour parler de l’affaire avec les autres ! »

Veronica se leva, il fallait qu’elle se prépare en quelques minutes seulement parce qu’il fallait qu’elle arrive au jet très vite… Partir si tôt au boulot n’était pas très agréable mais la belle blonde adorait ce boulot, elle appréciait l’idée qu’elle était utile et qu’elle aidait de pauvres victimes. Toute son adolescence, elle avait été une victime, puis elle avait décidé de se battre, de se créer une carapace qui l’aidait à s’en sortir dans la vie. Mais, comme sa meilleure amie qui était décédée, tout le monde n’avait pas cette capacité à rebondir tout simplement parce qu’elles étaient mortes… Sans faire attention au bruit qu’elle pourrait faire, elle se rua dans la salle de bain, se débarbouilla et fut très vite prête pour partir. N’ayant pas le temps de se prendre un café, elle passa par la cafeteria pour se prendre un café bien noir. Là-bas, elle croisa Morgan avec qui elle arriva près du jet privé. Emily était la seule personne qui manquait à l’appel mais elle ne fut pas longue à arriver. Toute l’équipe avait une tête de déterré, il fallait dire qu’il était tôt et qu’il ne fallait pas leur en demander trop. A peine installés, l’avion prit la direction de New York tandis que le briefing commençait. Le meurtre commis cette nuit était le troisième sur la liste. Les trois victimes étaient des prostituées qui avaient étaient retrouvées égorgées, les cheveux teints en rouge et déposées dans une ruelle sombre à moitié nue. Veronica ne savait pas trop si elles étaient à moitié nues avant leurs meurtres ou pas…

Quelques temps plus tard, l’équipe du BAU fut arrivé sur place, elle fut divisée en trois : Morgan et Reid sur le lieu du premier crime, Rossi et JJ sur le deuxième et enfin, Hotchner, Emily et Veronica sur le troisième. Hotchner avait à l’œil la belle blondinette qui ne le prenait pas mal. Il fallait qu’il puisse l’aider et lui enseigner du mieux qu’il pouvait le métier. Mais, parfois, entre la belle Vero et le froid Hotchner, les choses étaient tendues. Ce n’était pas tellement que la blonde ne supportait pas son patron, elle avait beaucoup d’estime pour lui mais elle aimait parfois le charrier, notamment parce qu’elle le trouvait parfois coincé et froid. C’était un peu pareil avec Reid mais avec lui, c’était plus facile de le faire rire… Lorsqu’ils arrivèrent sur place, Hotchner présenta toute l’équipe à l’équipe de police locale puis, les deux femmes se dirigèrent vers le cadavre. Emily se pencha pour l’observer tandis que Veronica regardait les alentours : peut-être y trouverait-elle un indice. Il fallait regarder partout, c’était une des règles. Elle tenta d’essayer de trouver d’où pouvait venir le corps, il était clair qu’il avait été déplacé, la belle blonde trouva une trace de sang un peu plus loin.

« Que vois-tu ici ? »

Veronica approcha de la jeune femme tout en s’accroupissant à son tour tout en faisant attention aux indices. Emily lui désignait le corps alors que Veronica se mit à regarder.

« Qu’elle a bien été égorgée comme les deux autres ! Mais surtout qu’elle a, elle aussi, une marque sur le ventre, comme la deuxième victime ! »

La jeune femme se leva tandis qu’elle demanda tout haut :

« Pourquoi la première n’avait-elle pas de marques et les deux dernières si ? Il y a forcément une raison ? Est-ce que cela pourrait venir du fait que la première victime était aussi son premier crime et qu’il commence à vouloir laisser une marque derrière lui ? »

Veronica n’était pas encore aussi forte que ses collègues quand il s’agissait de donner une théorie alors elle voulait l’avis d’Emily sur sa théorie…

Comment l’être humain pouvait-il être parfois si sadique ? Comment était-il possible d’arriver à de tels actes ? Veronica Mars ne pouvait comprendre ces comportements et pourtant, tout ce métier était de les comprendre. Ou plutôt d’essayer de comprendre comment ils pensaient et agiraient pour les arrêter. C’était le cas ici, il fallait trouver comment réagissait le tueur pour mettre fin à ses agissements. Mais tout d’abord, il fallait faire le profil de cet homme pour pouvoir identifier qui il était. Devant ce corps mutilé d’une jeune femme jeune, devant tous ces bleus et lacérations du corps, Veronica ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle faisait peut-être erreur sur sa future carrière. Pourquoi n’allait-elle pas dans un département moins difficile ? Le département qui s’intéressait aux arnaques financières par exemple, c’était plus tranquille. Tranquille dans le sens où ce serait plus facile d’enquêter sur ce genre d’affaires que les affaires dont elle s’occupait pour l’instant. Veronica ne cessait de faire des cauchemars et même apprendre qu’il existait un monde surnaturel lui faisait faire moins de cauchemars… Alors que les deux collègues regardaient le corps, Prentiss se releva, elle regarda autour d’elle tandis que la blondinette fit pareil. Elle se releva et commença à marcher autour du corps, espérant trouver des indices.

« Ta théorie paraît bonne mais pour qu’on puisse la valider, il nous faudrait plus d’indices et c’est pour cela qu’il faut continuer à inspecter les alentours ! Trouve tout ce que tu peux même ce qui pourrait te paraître inutile à tes yeux, pourrait finalement se révéler très intéressant pour notre affaire ! »

La jeune femme regardait blondie qui écoutait bien attentivement les conseils de son supérieur. Il fallait l’avouer, toute l’équipe était de bons conseils et Vero ne jouerait pas à la petite maligne avec eux. Ils savaient de quoi ils parlaient clairement et elle savait qu’elle apprendrait énormément avec chacun d’entre eux. Si la blondinette savait jouer les petites malignes quand elle voulait, elle savait également quand s’arrêter. Ne l’avoir fait qu’une seule fois avec Hotchner lui avait suffi.

« Ça marche, chef ! »

Bien qu’elle acquiesçait, la jeune femme s’était déjà mise à la recherche d’indices de l’autre côté d’où se trouvait Prentiss. Pas la peine d’être deux sur la même partie de la scène de crime. Veronica regardait les alentours mais il n’y avait rien, rien même pas un petit papier ou d’autres choses qui pourraient les aider. Pas même le moindre petit cheveu, à moins qu’elle ne regardait pas bien. Tandis qu’elle cogitait, Prentiss lui fit signe d’approcher près d’elle :

« Tu vois ces taches sur le sol ? Le tueur a probablement trainé le corps de la jeune femme et vu la quantité de sang présent, elle n’a pas dû être tuée à cet endroit car après avoir été égorgée, on perd beaucoup de sang ! Il nous reste donc la véritable scène de crime à trouver ! »

Emily était accroupie et Veronica se contenta de se courber pour regarder tandis que Prentiss se relevait déjà. Miss Mars regarda avec intérêt les taches de sang qui était, clairement, pas assez présent pour que ce soit la scène de crime.

« Est-ce qu’un jour, ces types nous faciliterons la tâche ? Tu penses que la scène de crime est proche ou est-ce que le tueur a dû prendre sa voiture ? J’imagine que c’est plus fréquent que le tueur prenne sa voiture, ça ne serait pas discret de sortir avec un cadavre dans la ville ! Néanmoins, je me dis que le type pourrait avoir tué la fille dans un des appartements juste derrière là ! »

Dit Veronica tout en pointant son doigt vers les appartements qui les entouraient. La jeune femme se mit en route vers les appartements, se demandant si elle ne pourrait pas trouver des traces de pas ou du sang tout près. Alors qu’elle arrivait au dernier appartement, elle vit une minime tache de sang sur le rebord d’une porte.

« Regarde ! Là, une tache discrète mais bien présente ! Il est peut-être bien venu de cet appartement non ? En tout cas, c’est déjà une piste ! On va voir ce qu’il y a derrière cette porte ? »

Demanda la blondinette un peu revigorée par cette découverte qui n’était pourtant pas grand-chose.

Sa collègue s’approcha de Veronica lorsque celle-ci l’appela. La belle Prentiss était en pleine discussion avec leur patron lorsqu’elle l’avait appelée mais qu’importe, c’était une découverte certainement importante, il fallait qu’elle lui montre.

« Tu as probablement raison, il va falloir qu’on entre pour vérifier ce qui se trouve derrière cette porte ! Cependant, il faut qu’on reste très prudentes ! Nous ne savons absolument pas ce qui nous attend ! Reste bien derrière moi ! Tu as compris ? »

La jolie blonde était fière d’elle, il fallait bien l’avouer. Ca n’était pas tous les jours qu’elle arrivait à faire ses preuves. Evidemment, Veronica avait toujours été une femme très intelligente qui se débrouillait extrêmement bien dans les déductions. Mais le niveau de la BAU n’était pas à la portée de tout le monde et même la belle avait parfois du mal à se plonger dans la tête de tueurs en série. Ca n’était pas faute d’avoir cherché des millions de fois à comprendre les clients de son père lorsqu’elle était sa secrétaire à son agence de détective, ça n’était pas faute d’avoir réussi l’examen de détective privé haut la main. Et surtout, ça n’était pas faute d’avoir fait de très bons résultats à l’école d’agents du FBI il y a quelques temps. Malgré tout, avoir choisi cette voie n’était pas facile et se mettre à la place d’un tueur en série n’était rien en comparaison avec tout cela.

« Compris ! »

Dit simplement blondie alors qu’elle suivit de près Emily qui elle suivait Hotchner. Veronica sortit son arme, se préparant à toutes éventualités. Il fallait dire que dans ce métier, on n’était à l’abri de rien, tout pouvait arriver et il valait mieux être sur ses gardes. Depuis que Vero avait appris pour le surnaturel, elle était d’autant plus sur ses gardes qu’elle savait que même chez elle, elle devait être sur ses gardes. Aaron entra le premier suivi par Emily et enfin Veronica. Ils suivirent les traces de sang qui les menèrent jusqu’à un appartement totalement vide. Une grosse tache de sang trônait en plein milieu de la moquette qui était la seule chose qui restait dans cet appartement… Un petit sourire sur les lèvres, la blondinette n’était pas peu fière d’avoir compris que la ruelle n’était pas la scène de crime. A ce moment-là, la belle brune se tourna vers sa collègue alors que cette dernière rangeait son arme. Normalement, ils n’avaient plus rien à craindre mais Vero décida de rester sur ses gardes tout de même au cas où le tueur apparaîtrait comme par enchantement. C’était peu probable vu que le sang sur la moquette était sec, il y avait un moment que le corps avait été déplacé…

« Bien joué Veronica ! Tu viens de trouver la véritable scène de crime ! »

La blonde ne dit rien, la remerciant simplement de la tête. C’était important pour elle d’être félicitée, elle avait ainsi l’impression de progresser et de ne pas être un boulet pour ses collègues. Etre la dernière d’une équipe qui se connaissait depuis longtemps n’était pas facile et elle n’avait qu’une envie : qu’ils la considèrent elle aussi comme une des leurs, qu’ils soient contents de travailler avec elle. C’était déjà un peu le cas pour la plupart mais certains avaient encore leur réserve, à commencer par son patron. C’était un dur à cuir et il fallait lui prouver qu’on valait le coup de faire partie de son équipe, ce qu’allait faire Veronica, elle n’avait pas dit son dernier mot. D’ailleurs, lorsque Prentiss lui fit cette remarque, le patron lui fit un simple signe de tête, preuve qu’il était content de sa trouvaille et qu’il n’était pas mécontent de son travail. Finalement, Vero n’était pas mécontente d’être venue sur cette affaire, elle allait pouvoir apprendre et faire ses preuves en même temps. Ce matin, se lever avait été difficile mais une fois sur le terrain, elle retrouvait son entrain. Evidemment, ça n’était pas joyeux de travailler sur ce genre d’affaires mais ce qui remontait le moral c’était les personnes que l’on pouvait sauver in extrémis de la mort, ces enfants, ces femmes, ces pères de famille qui pouvaient sortir vivants de toutes ces histoires.

« Depuis combien de temps le corps était-il ici ? Je veux dire, le sang semble sec mais le tueur n’a attendu que maintenant pour le sortir de l’appartement ! J’imagine que s’il l’avait sorti directement après le meurtre, on aurait eu des traces plus récentes sur la moquette ! Se peut-il qu’il ait réfléchi comme moi, que c’était pour éviter de laisser des traces derrière lui ? Ou alors, cette moquette est imbibée du sang de plusieurs victimes ? Si c’était le cas, pourquoi avoir décidé de quitter cet endroit maintenant ? »

Veronica n’arrêtait plus de parler, toutes ces questions, tant de questions comme toujours dans ce genre d’affaires. C’était une des choses qui agaçaient toujours Veronica : toutes ces questions. Elle reprit son souffle tandis qu’elle attendait des réponses à ses questions bien qu’elle savait qu’aucun des deux ne pouvait être plus sûrs qu’elle de la raison de toute cette mise en scène… Néanmoins, l’interaction était une des clés de leur métier : chacun avait son idée et chacun pouvait apporter leur avis et c’est ainsi que l’équipe avançait dans le profil du tueur et qu’ils avançaient dans l’enquête…

La brune et la blonde, qui ne travaillaient ensemble que depuis peu, continuaient leur investigation sur la scène, accompagnées de leur patron qui était occupée un peu plus loin. Qu’est-ce que toute cette affaire cachait ? Comment pouvait-on en arriver à de tels actes ? Peut-être que Veronica avait choisi ce métier pour pouvoir répondre à ces questions et pouvoir comprendre les psychopathes. Mais, ce n’était pas le cas parce que, malheureusement, de toutes les affaires qu’elle avait eues, peu d’interrogations avaient eu des réponses… Pourtant, avec son optimisme légendaire – ce qu’elle voulait faire croire – Veronica espérait qu’un jour, elle arriverait à comprendre tous ces actes. Il fallait lui donner le temps de comprendre que certaines choses ne sont pas explicables mais en tant que nouvelle recrue, elle avait du mal à le comprendre pour l’instant.

« Je pense que si c’était pour éviter de laisser des traces derrière lui, il aurait déplacé le corps bien plus loin ! Or, la victime se trouve seulement à quelques mètres du lieu du crime ! Autant dire, qu’il a tué cette femme à l’intérieur puis qu’il l’a emmenée dehors sans prendre la peine de l’emmener très loin ou de la cacher ! Soit il suit un schéma très précis, soit quelque chose l’a dérangé et il a préféré finir le travail à l’extérieur ! Cependant, vu l’endroit où il l’a touchée, elle s’est vidée de son sang quasiment entièrement à l’intérieur mais comme tu l’as dit, le sang est sec et il n’y a pas d’autres traces ailleurs ! Je pencherais donc pour le fait qu’il suit un schéma précis ! Il faudrait voir maintenant avec les autres si leur scène de crime ressemble à la nôtre ou s’il existe des différences ! »

La blondinette acquiesçait à chaque parole de sa collègue. Elle ne lui disait pas toujours mais Veronica admirait Emily pour sa façon de penser. Elle était douée, très douée et d’une certaine manière, Vero aurait voulu arriver à un tel niveau dans quelques mois. Prentiss s’approcha de blondie et reprit la parole.

« Tu sais Veronica, toutes ces questions que tu te poses pourront ou ne pourront peut-être pas trouver de réponses car même si on finit par arrêter le coupable, il ne pourra jamais nous donner les raisons précises de ses actes ! Nous pouvons les supposer, parfois les révéler et qu’elles soient justes mais parfois aussi, à la fin d’une enquête, lorsqu’on pense tout savoir, d’autres questions viennent alors et au final, ça ne s’arrête jamais ! Cependant, pour qu’une enquête commence et avance, il faut savoir se poser les bonnes questions et pour le moment, tu es sur la bonne voie ! »

L’enthousiasme de la miss Mars s’envola un peu en apprenant la vérité sur le métier. Bien sûr, elle s’en doutait mais elle aurait voulu pouvoir avoir toutes les réponses. C’était comme cela qu’elle fonctionnait : il fallait qu’elle soit au courant de tout et qu’elle comprenne tout… En tant que détective privée, quand elle travaillait pour son père, elle ne lâchait jamais une affaire tant qu’elle n’avait pas le fin mot de l’histoire. C’était cela qui l’avait menée plus d’une fois à l’article de la mort… Parce qu’elle fouinait un peu trop. Il fallait qu’elle se fasse à l’idée qu’être du FBI à la division BAU n’était pas la même chose qu’être détective privée… La jeune femme regardait tout autour d’elle tandis qu’elle répondit à Emily :

« Merci pour l’encouragement ! Par contre, j’ai un peu peur d’être têtue au début ! Je suis du genre à vouloir tout résoudre ! Un vieux réflexe de détective privée je pense ! J’aime savoir tous les détails et être certaine que j’ai la bonne solution ! Mais clairement, va falloir que je change ça, sinon, je risque de ne pas pouvoir dormir souvent ! Déjà que les cas qu’on a sont pas facile et que j’en fais souvent des cauchemars, si j’y rajoute les insomnies parce que je ne résous pas une affaire, je vais devenir un zombie ! »

Finit Veronica sur un ton un peu plus drôle, bien que l’affaire sur laquelle ils étaient n’était pas joyeuse.

« Pour en revenir à l’enquête, je pense qu’on ne trouvera plus rien de… ! »

Lâcha la blondinette en s’interrompant lorsqu’elle vit quelque chose de dissimuler sur le mur derrière Prentiss. Elle s’approcha du mur et vit un papier qui dépassait d’une brique mal remise. La belle prit le morceau de papier et y découvrit une vieille photo d’un homme avec un enfant… Faisant un signe à Emily, elle lâcha :

« Regarde ce que j’ai trouvé ! »

Fit-elle tout en continuant à scruter la photo.